Aujourd'hui, nous allons parler de cette figure emblématique du bestiaire fantastique qu'est le dragon. Pour se mettre dans l'ambiance, un petit fond musical s'impose^^.
Les dragons dans la mythologie occidentale.
Souvent présent dans les oeuvres de fantasy et par conséquent dans les wargames fantastiques, le dragon est également une créature présente dans la mythologie de la plupart des civilisations et ce dès le Néolithique. En Occident, on retrouve des dragons dans les mythologies grecque, celtique et nordique.
Héracles (Hercule) tua le dragon Lagon au cours de ses 12 travaux.
Le dragon rouge, qui figure sur le drapeau du pays de Galles, défait le dragon blanc, symbole de l'envahisseur saxon.
Uther Pendragon, père du roi Arthur et roi de Bretagne, prit le dragon vu en songe pour insigne.
Beowulf livre son dernier combat contre un dragon qui l'emportera avec lui dans la mort.
Dans la chanson des Niebelungen, Siegfried vainc le dragon Fafnir et se plonge dans son sang, ce qui lui conférera l'invincibilité.
Saint Georges terrasse le dragon afin de délivrer la fille du roi de Lybie selon la légende de Jacques de Voragine.
Tolkien et les dragons.
Tolkien, inspiré sans doute par le poème de Beowulf, reprit la figure du dragon dans ses écrits. Le premier d'entre eux, Glaurung, surnommé encore le « Père des Dragons », apparaît au Premier Âge. Il est le fruit des oeuvres maléfiques de Morgoth. Dans Bilbo le Hobbit, le dragon Smaug le doré est la figure du mal, de l'orgueil et de l'avarice bien que ces vices soient aussi communs aux nains du roman. En effet, à l'instar des dragons de la mythologie grecque, Smaug est cupide. Les richesses incommensurables accumulées par les nains d'Erebor dans les caves du Mont Solitaire attirèrent sa convoitise. Après avoir dévasté la ville d'Esgaroth située aux pieds de la montagne, il délogea les nains et fit de leur demeure son repaire, non sans que le roi Thror et sa lignée parviennent à s'enfuir. Plus d'un siècle et demi après la fuite des nains, Bilbon, sur les conseils de Gandalf, accompagna en Erebor le petit-fils du roi, Thorin Ecu-de-chène. Le vieux magicien avait ainsi initié la quête d'Erebor, entreprise pour faire recouvrer au prince son héritage. Gandalf souhaitait en outre réduire à merci le monstre, craignant que Sauron ne l'utilise dans sa guerre à venir. On sait que Bilbon réveilla la colère du monstre, qui, dans sa fureur,
résolut d'anéantir par le feu la cité lacustre d'Esgaroth.
Le capitaine
des archers de Lacville, Bard, héritier du trône de Dale, tua Smaug
d'une flèche adroitement tirée dans une faiblesse de son poitrail. La
bête s'abîma sur la cité et coula pour toujours au fond du lac. Ainsi mourut le "dernier grand dragon", "le plus puissant de son temps".
Les dragons Games Workshop: un produit souvent décevant.
Posséder un dragon est tout naturel pour un figuriniste amateur de fantasy. Or, jusqu'à présent, je n'avais jamais été très emballé par les pièces en ma possession. Il y a bien sûr le Smaug édité par Games Workshop, mais à moins de gagner au loto, je ne suis pas prêt à lâcher 385 euros pour accueillir cette pièce, si belle soit-elle...
La splendide version Games Workshop de Smaug... une pièce malheureusement aussi chère que belle.
Sans être horribles, les dragons GW de ma collection ne m'ont jamais vraiment inspiré. Alors que GW produit souvent les figurines les plus belles et les plus détaillées du marché (ce qui a un prix^^), leurs dragons m'ont toujours semblé peu réussis. Je les trouve chétifs et ils ne correspondent pas du tout à l'image de puissance et de majesté que je me fais de ces créatures. Voici ci-dessous les photos studios des dragons en ma possession:
Mage Haut elfe sur dragon
Les jumelles Naestra et Arahan, Soeurs du Crépuscule, sur leur dragon.
Seigneur elfe sylvain sur dragon des forêts.
Le prince Imrik.
Seigneur haut elfe sur dragon
Azhag le Massacreur, seigneur orque sur Wyvern
Chef orque sur Wyvern
Le dragon SDA
J'ai aussi dans mes tiroirs le dragon (wyvern plutôt) Cynwall de Rackham
Dragons don't share: photos d'une magnifique pièce.
Bref, je possède quelques exemplaires mais je n'étais cependant jusqu'à présent guère satisfait... et nous voilà enfin arrivés, après cette longue intro^^, au motif principal de ce sujet. La réception d'un dragon enfin digne de ce nom, le grand dragon Nathavarr du set Dragons don't share de la marque Reaper Miniature. J'ai pu acquérir cette belle boîte sur le marché de l'occasion à un prix tout à fait raisonnable, surtout si l'on en juge par son contenu!
La boîte contient de quoi réaliser un joli petit diorama: un dragon, 5 persos et des décors
La boîte est jolie et solide. Avant même l'ouverture, on peut admirer la qualité du produit.
Au dos, la description et un modèle de peinture... que je ne suivrai pas!
Les décors sont rassemblés dans un lourd sachet.
Les pièces du dragon s'emboîtent et tiennent relativement bien sans colle. Il y aura un peu de taf à la GS tout de même.
Le socle du dragon est vraiment sympa: des ruines jonchées de trésors.
Avec la figurine de Bilbon. Ce dragon fera un Smaug tout à fait convenable, non?
Le décor rapidement assemblé: un escalier sur des arches et une tour en ruine démontable.
Zoom sur l'escalier. Cela sera parfait pour Frostgrave... c'était aussi un peu l'objectif!
Les 5 héros. La gravure n'est pas très fine pour le coup et je comptais les revendre mais mon fils les a adoptés ;-)
Ce que mon fils me laisse finalement^^. On voit que certaines pièces du décor devront être redressées au sèche-cheveux.
Petite comparaison avec un haut elfe Warhammer Battle. C'est déjà impressionnant...
... mais le meilleur reste à venir par la comparaison de taille avec les dragons Games Workshop.
J'en ai fini avec cette présentation. J'espère que cela vous a plus. Pour ma part, je suis vraiment très satisfait de cet achat. Je pense composer un diorama démontable (en utilisant des figurines alternatives pour les héros) afin que je puisse utiliser les décors pour le jeu (Battle et Frostgrave) et le dragon pour figurer un mage haut elfe au pied de son dragon. Cela me donnera l'occasion d'un autre article sur cette magnifique pièce. Je reparlerai des figurines Reaper, qui sont d'inégale qualité mais dont certaines touchent au sublime. J'ai plus amplement découvert cette marque en recherchant des mages alternatifs pour Frostgrave et il y a des pépites à vous faire partager.
En effet,
cet été, j'ai acheté le manuel du jeu Frostgrave, sur lequel je lorgnais depuis
un bail. En effet, en écumant les forums, j'ai vite compris qu'il s'agissait d'un jeu incontournable. Après avoir lu le manuel des règles, je suis en train de me constituer patiemment une bande.Voici donc
mes premiers pas dans cet univers aussi impitoyable qu'enneigé^^.
Le livre de règles est splendide, rempli de photos de figurines mises en scène.
L'article étant assez long, j'ai pitié de vous et vous propose un petit fond sonore pour agrémenter votre lecture. Enjoy!
L'univers:
Frostgrave
est le nom d'une antique cité dévastée par les folles entreprises de ses
magiciens. En des temps reculés, elle s'appelait Felstad. Capitale d'un empire
florissant, elle attirait en son sein les mages les plus réputés de l'empire,
qui rivalisaient dans leur quête du savoir et de la puissance au sein
d'Académies. Les tours des mages hérissaient la cité de leurs toitures étranges
et les incantations en des langues oubliées résonnaient dans les rues étroites
de la ville. Le ciel nocturne y était parsemé de lueurs étranges, éclairs
chatoyants, flammes aveuglantes, explosions multicolores de lumières. Un jour,
l'un de ces magiciens - l'histoire a effacé son nom par une sorte de damnatio
memoriae - ne parvint pas à maîtriser un sort. Sa maladresse et son
arrogance déclenchèrent une catastrophe magique irrémédiable, qui mit un terme
subit à des siècles d'histoire grandiose. La cité fut engloutie dans un violent
et persistant blizzard. Nul ne put en réchapper; les habitants furent pétrifiés
sur place. La région alentours ne fut plus qu'une triste désolation gelée,
qu'évitaient les hommes même les plus hardis. La cité fut surnommée Frostgrave,
le tombeau de glace. Elle devint le repaire des bêtes sauvages et de créatures
plus malfaisantes encore.
Un univers qui n'est pas particulièrement hospitalier... à moins d'aimer les bâtonnets Findus.
Un millénaire plus tard, l'hiver prit fin. Dès lors, des quatre coins du
monde, des mages avides de connaissances et de pouvoirs affluèrent vers
la ville en ruine, afin de retrouver les connaissances arcaniques
perdues depuis des siècles. Les ruines de Frostgrave recèlent des
grimoires d'une valeur inestimable, des objets enchantés, des parchemins
de sorts et d'innombrables trésors, vestige de sa splendeur passée.
Toutefois, seuls les mages les plus téméraires osent se lancer dans
cette périlleuse aventure. La cité désolée regorge
de goules, loups-garous et squelettes. Ces monstruosités traquent les insensés
qui osent s'aventurer en ces lieux ravagés par la folie des hommes. Par
ailleurs, quiconque s'y aventure doit redouter de rencontrer d'autres mages peu
désireux de partager les secrets de la cité...
Le rôle des hommes d'armes est de protéger à tout prix le mage. Sans lui, tout espoir de quitter la cité est perdu...
Le but du jeu:
Le jeu propose d'incarner un mage assez
fou pour entreprendre l'exploration du "tombeau de glace". A cette fin,
on doit constituer une bande d'une dizaine d'hommes de main autour d'un
mage et de son apprenti. La première chose à faire est donc de choisir
son mage et son école de magie, choix qui aura une incidence sur les
sorts disponibles. Il y a huit écoles de
magie et au total quatre-vingt sorts dans le livre de base; les suppléments
contiennent de nouveaux sorts si j'ai bien compris.
La composition de la bande est variable: elle
contiendra un apprenti, élève du mage, et des mercenaires sans
scrupules: voleurs discrets, chasseurs de trésors expérimentés, hommes
d'arme vêtus de cuir, rangers habiles à l'arc, templiers en armure
lourde, barbares dotés de slips doublé en
peau d'ours comme il se doit, apothicaire ou barde... Cette liste n'est pas
exhaustive... La composition de votre bande dépendra de vos choix stratégiques,
de votre style de jeu et... de vos ressources: les mercenaires entendent bien
être payés en écus sonnants et trébuchants avant d'entrer dans la cité.
La superbe bande de Vétilles. N'hésitez pas à jeter un coup d'oeil à son blog, qui m'a convaincu de me lancer dans ce jeu!
Campagnes scénarisées:
Le jeu se déroule grâce à des
parties scénarisées fournies par l'éditeur (il y en a en grand nombre,
malheureusement pas toujours traduits en français) ou de votre création. Chaque joueur accumule des points d'expériences en réussissant des
sorts, en trouvant des trésors et en réussissant à les sortir de la
table de jeu (d'un format 90cm x 90 cm) mais aussi en tuant montres et
membres des bandes adverses; le maximum de points d'expérience étant
attribué à celui qui parviendra à tuer un mage adverse. Il est bien
entendu possible de jouer à Frostgrave pour une partie isolée mais le
jeu prend toute sa saveur dans le cadre d'une campagne: en effet,
celle-ci permet à votre mage d'acquérir de l'expérience, à votre
apprenti d'apprendre de nouveaux sorts. Les trésors accumulés permettent
de remplacer les hommes de mains tombés au combat, de licencier les
plus faibles pour recruter des guerriers plus expérimentés, d'améliorer
leur armement en leur confiant armes et armures enchantées, des potions de force, de guérison, d'invisibilité ou de rapidité...
Ces potions nous rappellent de vieux souvenirs...
Points positifs du jeu:
Simplicité et fluidité:
Le jeu ressemble donc à Mordheim, mais contient de notables différences
en dehors du fluff et de la magie, bien plus présente évidemment. En
effet, les règles sont plus simples et rendent le jeu très fluide. En
outre, seuls le mage et l'apprenti acquièrent de l'expérience (et donc
la capacité de mieux maîtriser leurs sorts ou d'en apprendre de nouveau,
mais aussi de mieux combattre, résister à la magie etc...). Les soldats
quant à eux ne peuvent qu'être mieux équipés ou remplacés par des
guerriers plus redoutables, à l'exception du capitaine, personnage
dernièrement introduit dans les expéditions par un supplément récent.
Rapidité des parties: il faut compter 1h30 ou 2h par partie. On peut y jouer à deux, mais j'ai cru comprendre que le jeu devenait franchement drôle à trois ou quatre joueurs.
Les hommes de main édités par Osprey: mieux en vrai!
Un chronomancien, malgré sa maîtrise du temps, se laisse surprendre par des goules peu ragoutantes...
Figurines:
L'éditeur propose sa
propre gamme de figurines. La peinture studio ne leur rend pas hommage: sans
être exceptionnelles, elles sont de bonne facture. J'y reviendrai dans un
prochain sujet car j'ai été très agréablement surpris par les hommes de main plastique. Ces figurines me semblaient d'après photos très grossières, mais en fait la sculpture est très convenable. Evidemment, on n'atteint pas le degré de finesse des figurines Reaper par exemple (comme ce splendide Karzoud Runelord, ci-contre à gauche).
Au final, presque tous les joueurs peuvent aligner une bande dès l'achat du livre de règles,
puisqu'il suffit d'une dizaine de figs dont deux figs de magiciens. Si le jeu
prévoit uniquement des bandes humaines (ce qui à mon sens constitue aussi l'un
des attraits du jeu), rien n'empêche de composer une bande de nains, d'elfes ou
d'orques. Quant aux PNJ, il s'agit principalement de figurines de morts
vivants, mais là encore, rien n'interdit d'imaginer que Frostgrave est infestée
de skaven...Si vous parcourez des forums, vous vous rendrez compte que de nombreux joueurs ont choisi cette option, avec bonheur.
Un mage de la gamme Osprey et des hommes d'arme Fireforge.
Il est temps à présent de vous montrer mes premières réalisations dans
l'univers du jeu. J'ai tout d'abord commencé par peindre des pions
objectifs, à savoir trésors et coffres. Ces coffres sont des moulages de
jolies pièces en résine qui proviennent de chez Minisocles (je voulais savoir si je pouvais les dupliquer). J'y
ai perdu un peu en finesse de moulage mais cela fait bien le travail au
final je trouve.
A présent, voici un homme d'arme équipé d'une hache et
d'un bouclier. J'ai utilisé pour ce faire une figurine à assembler de la gamme
Fireforge games, que j’avais déjà testée et qui m’avait amplement donné
satisfaction. Ces figurines de foot sergeants correspondent tout à fait à l'idée que je me
fais d'un homme de main pour le jeu; des figurines pas trop chargées de
détails, bien typées "médiévales" et que l'on peut moduler grâce à un
set d'arme assez étoffé (il manque tout de même des arcs dans la boîte de base,
seules des arbalètes sont fournies). La boîte défie en outre toute concurrence
au niveau du prix, puisque pour 39 euros, on a de quoi équiper 48 combattants.
Pour l'ambiance, un peu de fourrure en GS... Il fait froid à Frostgrave!
J'ai retravaillé son bouclier en amande (de type normand) à la pointe à
tracer, pour graver les rainures du bois. Il est possible de les faire en
trompe-l’œil à la peinture, mais ce travail préparatoire facilite grandement le
travail.
La technique m'a été donnée par Esgaroth81, et je l'en remercie!
La figurine est prête! Premières étapes de peinture:
Cette figurine Fireforge est très agréable à peindre.
Du fait des rainures, quelques lavis donnent tout de suite un joli relief.
J'ai mis le paquet sur la face avant du bouclier bouclier, qui était un peu l'enjeu de cette
figurine. Fig historique oui, mais dans un univers fantastique, alors
pas d'héraldique classique. Du coup je me suis tourné vers l'univers de
GoT. C'est de saison en ce moment (^^).
J'ai naturellement choisi un symbole rappelant... la maison Stark, cela
faisait un moment que l'idée me trottait dans la tête de faire une fig
GoT. Il faut dire que les maisons de l'univers de Game of Thrones ont une héraldique
particulièrement inspirante...
Il reste quelques motifs intéressants pour les prochains écus de mes sbires.
Mais comme je suis aussi un peu dans ma période vikings ces derniers
temps, en cours de peinture, j'ai partiellement changé d'optique et
plutôt que de faire le loup entièrement noir, j'ai tenté des entrelacs
vaguement inspirés des symboles figurant sur les boucliers des guerriers d'Odin.
Le free hand est plus impressionnant que très bien réalisé; la peinture
séchait vite, trop vite avec cette fichue chaleur et j'ai peint à des
heures indues avec un éclairage merdique... bref, le noir et le blanc ne
sont pas uniformes et certains traits manquent assurément de fluidité
et de finesse. Cependant, de loin, cela fait bien illusion. Avant de
peindre cette tête de loup, je m'étais fixé deux objectifs, aux allures
de défis. Le premier, peindre un bouclier blanc qui ne fasse pas
immaculé. Je n'étais pas très à l'aise avec le blanc jusqu'ici et là, je
suis plutôt content du résultat, obtenu grâce à des teintes de beige,
de gris bleu, de gris vert et de marron. Il y a au final très peu de
blanc pur et l'effet est proche de ce que je souhaitais réaliser. Second
défi, faire un bouclier usé, crasseux, digne d'un mercenaire arpentant
une cité pleine de dangers, bref, un bouclier sali et réaliste.
Une petite pièce de 5 centimes, comme font les pros, sauf que je n'ai pas leur niveau... mais on s'en fout^^.
La figurine n'est pas terminée, mais l'essentiel est fait. Pour l'instant, cela donne cela:
Le mouvement de cet homme en marche est bien reproduit.
J'ai placé quelques jus d'encre bleue sur les mains pour simuler le froid. A améliorer avec du rouge.
Du sang sur le bouclier... j'y reviendrai.
J'ai choisi des couleurs ternes; il s'agit d'un simple soldat...
En postant les photos, je me suis rendu compte de l'oubli de certaines lignes de moulage. C'est pénible. La photo toutefois accroît ce défaut moins visible à l'oeil nu mais c'est vrai qu'en gros plan,
c'est mortel...
Vous aurez aussi remarqué la vilaine trace de sang
frais sur la tranche du bouclier. Je l'ai ajoutée car en réalité, le
loup est légèrement décentré par rapport à l'axe central du bouclier et
la tache de sang, par un effet d'optique, atténue cette erreur, l'oeil
étant attiré vers le rouge vif et chaud^^. Une astuce bien pratique pour réparer des maladresses de ce genre. Mais c'est aussi
naturellement venu à mon esprit parce que le bouclier n'était pas qu'une
arme défensive, comme on le croît trop souvent... la preuve en vidéo!
Voilà, je vais le finir dans la semaine car ensuite, je n'aurai sans
doute plus le temps de me remettre à mon atelier avant Noël... .
Mais j'ai tout de même des projets de rédaction d'articles, notamment sur un unboxing des boîtes Fireforges Games et Osprey qui me serviront à réaliser mes autres hommes de main et un sujet sur les mages alternatifs pour Frostgrave, en tapant en particulier dans les gammes Reaper et Dark Sword Miniatures. Un sujet avait été lancé sur la Warfo (lien) mais cette bonne initiative n'a malheureusement pas été poursuivie.